Je venais finir ma soirée. Il restait quelque personne comme d'habitude. Ces gens-là étaient les plus fêtards, ceux qui ne savaient pas qu'ils devaient rentrer à la maison. Heureusement, je n'étais que le DJ. Donc, je n'avais pas à nettoyer l'endroit de ces saouls morts. Je pris mes choses et sortis en saluant les employées qui devaient tout ramasser, nettoyer. J'étais content, car tout s'était bien dérouler. Rien ne m'avait fait changer d'humeur. Sinon, je crois que je n'aurais pas donné cher de la peau du mec qui m'avait presque tombé dessus en montant sur la table où j'étais installé. Une chance qu'elle était là, d'ailleurs. Sinon, je crois que je n'aurais pas donné cher de la peau du mec qui m'avait presque tombé dessus en montant sur la table où j'étais installé.  

Je me rendis à ma voiture. J’accrochai quelqu'un au passage et ne m'en préoccupa pas. Une fois que tout fut placé dans la valise, j'entendis des voix s'élever. Je refermai le coffre et m’empêchais intérieurement d'y aller. La dernière fois que j'avais essayé d'aider quelqu'un, je mettais retrouver changé, transformé en loup-garou par une morsure. Il était, toutefois, trop tard, car je me dirigeai vers les lumières de couleurs dansantes.

Je vis un gros baraqué tenant un mince monsieur par le manteau. Ils étaient nez à nez et l'homme fort parlait durement. Il l'accusait de l'avoir poussé. « Tout ça pour ça » demandais-je à voix basse. Quoique, maintenant, je n'avais pas le droit de faire la morale à personne sur les sauts d'humeur. J'étais une bombe à retardement. Il suffisait d'un rien pour me faire exploser. J'étais revenu à l'époque de mon adolescence. Je n'avais vraiment pas besoin de ça. Surtout que cette fois, c'était pire.

Je me mis devant celui qui tenait l'autre. « Écoute, ce n'est pas lui qui t'a accroché, mais moi. » C'était, sûrement, vrai. J'avais accroché quelqu'un plus tôt. « Je m'excuse. Peux-tu le redescendre. » L'homme le relâcha et je vis l'autre se sauver. « Parfait... Alors c'est toi qui vas payer » me dit-il. Je le regardai d'un air interrogateur. Il me pointa sa moto. Je savais que tout cela allait mal finir, mais il était trop tard pour reculer. Nous avons, donc, commencer à nous battre verbalement. Je savais, par contre, que cela allait tourner une flaque de sang. D'ailleurs, j'essayai à plusieurs reprises de partir. Je ne voulais pas me transformer.

J'essayai de calmer le jeu et pour dire vrai, ce n'était pas facile. Le baraqué était bien saoul, mais pas assez pour ne pas être capable de donner un bon coup à qui que ce soit. C'est à ce moment-là qu'un policier arriva. "Ce n'est pas vrai" pensais-je. La présence de l'homme n'allait pas m'aider, car la situation allait s'envenimer encore plus rapidement. Je n'aurais, à la normale, rien dit contre ça. Même si, il était vrai que, la plupart du temps, ça tournait au vinaigre. J'espérais que ce n'allait pas être cas. Je n'avais aucune envie de me transformer.   

Le policier me demanda ce qu'il se passait. Je n'eus pas le temps de lui répondre, car l'homme lui parla, mais de façon quasiment incompréhensible. L'officier lui dit d'un ton sec de se taire et d'attendre son tour. L'homme déjà mécontent devient réellement fâcher. Il sortit une arme à feu. Nous étions dans de beaux draps. « Woh ! » Je me mis mes mains en signe d'arrêt. J'aurais du partir comme les gens à la place d'être 'surpris' par l’accélération du problème. Il le pointa sur le pauvre gars. Je me mis, devant, ce dernier parce que je compris que tout ça était de ma faute à moi et le policier se mit devant moi. Ça mérita un peu. J'avais bousculé l'homme. Je m'en excusai. Cependant, ce n'était pas suffisant. Il me dit que j'allais payer. "Pourquoi vais-je payer ?" La réponse vint rapidement. La moto était tombée à cause de la bousculade de plus tôt. L'officier prit à nouveau la parole pour dire tout haut ce que je pensais. Le seul hic s'était que pour l'homme sa moto était plus chère que tout. Peut-être, plus que sa mère.

L'homme lui sourit de façon malveillante. Il avait une idée noire. Je pouvais le sentir. Il assomma avec sa bouteille celui qui l'avait traité en enfant. L'officier par terre, il vint vers moi. Mon cœur battait rapidement de rage, car il commença à me bousculer et me lancer des insultes. Nous étions hors de vue, dans une petite ruelle.

La quatrième bousculade fut celle de trop. Le mal s'empara de moi. Je sentis mes os se changer à une ossature monstrueuse. Mon nez, mes yeux... Mon corps se retrouva couvert de poils. Je criai de douleur. Je fus par terre. « Oh non » lançais-je avec agonie avant de sombrer dans l'inconscience. La bête avait pris le dessus.

L'homme regarda Zayd agoniser. « Mais qu'est-ce qui te prends. Je ne t'ai même pas touché. » Zayd essaya, malgré son agonie et la douleur qu'il ressentait, de faire des gestes pour que l'homme part. Le motard était trop stupide et le regarda. Il vit le visage du jeune homme changé. Ses lèvres firent place à de grosses dents acérées. Son nez se transforma en celui d'un loup. L'homme n'arrivait pas à croire ce qu'il voyait. Avait-il trop but ? Était-ce le mélange de l'alcool et de la drogue qu'il avait pris avec ses amis ? Quoiqu'il en soit, ça ne pouvait pas être réel. Pourtant, il aurait dû. Il aurait dû fuir depuis longtemps. Il était trop tard maintenant. Il vit le tas de fourrure qu'était devenue Zayd se lever du sol. On pouvait lire dans les yeux de l'animal sa méchanceté et son envie de le déchiqueter en mille morceaux. Le motard eu si peur en voyant la bête qu'il resta immobile et se pissa dessus. De quoi réjouir le lycan qui était dans la position du dominant.

Le policier arriva, alors, sur les lieux. Le lycan l'entendis venir. Il sourit. "Plus de festins pour moi" pensa-t-il, mais il ne se retourna pas vers lui immédiatement. Il voulait que le brun ressente la même peur que le motard. Il voulait entendre son cœur battre la chamade. Puis, il ne voulait pas détacher les yeux de la poule mouillée qu'il avait devant lui. L'animal s'apprêta à arracher le bras de sa proie, lorsque l'officier lui ordonna de s'arrêter, de se coucher. Les yeux du loup-garou se tournèrent vers celui qui lui avait donné un ordre. Quelle bêtise. On ne dérangeait jamais une bête comme lui lors d'un repas. Le loup fit un pas vers l'officier. Ce dernier fit signe, au motard, de partir. Il était trop figé pour ça. Ce qui arrangea bien le tas de poil.


Le lycan ouvra la bouche laissant la salive couler. Il se pencha un peu et commença à courir vers le policier.  

La créature regardait l'officier qui avait attiré son regard en lui donnant un ordre. Il fallait être fou pour faire une telle chose, mais le policier voulait absolument secourir l'homme. C'était courageux et suicidaire. Enfin, le policier avait tiré une balle d'avertissement pour que le débile s'enfuît pour, ensuite, déglutir. Il avait menacé l'homme pour qu'il s'enfuît. Le motard prit, alors, ses jambes à son cou. L'animal fonça sur le policier. Il avait été stupide d'avoir attiré l'attention du Lycan. Il aurait mieux fait de s'enfuir et de laisser l'ivrogne mourir, car il allait payer. Payer d'avoir donné un ordre et d'avoir fait déguerpir la nourriture de la bête. L'officier déglutit une nouvelle fois. Si cela avait été Zayd, la simple odeur l'aurait fait sentir mal. Le lycan n'en avait rien à faire. Il trouva même un certain réconfort. Il savait qu'il avait peur de lui. Il n'y avait rien de mieux qu'une proie effrayée.

Le brun essaya d'arrêter la bête par la parole. Malheureusement, ça ne servait à rien de résonner avec une créature qui était en colère et qui avait une faim vengeresse. Il continua à charger malgré l'avertissement de l'homme. D'ailleurs, il en avait rien à faire. S'il comprenait, certainement. Les bestioles n'avaient pas à comprendre la langue pour comprendre les gestes corporels. Les chats et les chiens comprennent les humains en les observants comme les enfants qui observent leurs parents.

La bête bondit alors pour arracher l'un des bras de l'homme.

Il avait, malheureusement qu'égratigner l'homme d'une de ses griffes. Il goûta au sang en étirant sa langue. Il était exactement comme il les aimait. Il était à point et près à se faire manger. Heureusement pour l'agent, le loup-garou ne remarqua pas qu'il avait été blessé, par la balle, à l'épaule droite. Il se rua une nouvelle fois vers le policier. Il hurla de douleur lorsqu'il essaya de l'attraper avec son bras droit. Au loin, on pouvait entendre les loups se joindre à lui. C'était connu. Lorsqu'un loup hurlait son mal ou sa peine, les autres se joignaient à lui. L'animal recula et ressentit l'énergie de ses 'amis'. Avec ses deux doigts velus - le pouce et l'index de la main gauche - , il arracha la balle de son bras. D'instinct, il savait qu'il guérissait rapidement. Il fallait, alors, enlever cette chose de là. Sinon, ça lui poserait des problèmes plus tard.

Une fois cela fait, il lança, au policier, la balle. Cette dernière arriva au pied de l’officier. La créature était furieuse. L'homme-loup se promit que, cette fois, il ne le raterait pas. Il chargea malgré le mal qu'il avait. Le policier avait un petit avantage, car le lycan ne possédait pas toute sa force. Il avait, donc, moyen de l'arrêter. Qu'allait faire l'homme ? Il fallait faire vite.

L'officier vomit une nouvelle fois lorsqu'il vit l'animal léché le sang sur ses griffes. Il s'agit du sang de l'agent. Il avait un goût exquis selon la bête. Il se voyait déjà en train déchiqueter sa chair. L'humain avait l'air à ne rien comprendre. Tout ce qu'il voyait défiait sa vision terre-à-terre. Avec le courage qu'il semblait lui rester le policier visa, une nouvelle fois, avec son fusil. Cela ne dérangea pas le lycan qui était en train d'enlever la balle que l'autre lui avait logé dans l'épaule. Le lycan rit un peu en attendant l'homme dire que ça devait être une blague. Il allait lui montré qu'il n'y avait aucune intention de le faire rire. Il hurla et les loups des environs le rejoignirent en cris. Ça donnait des forces au Lycan qui sourit à son adversaire et lui lança la balle ensanglantée à ses pieds. L'homme avait à présent baissé sa garde pour regarder l'objet en question. C'était le moment ou jamais. Le lycan couru malgré son bras amoché vers sa victime. L'officier le vit arriver. Il tomba et décida de tirer les neuf balles qui lui restaient. Toutes les balles atteignirent le loup-garou. On pouvait dire qu'il avait de la chance de savoir visé malgré sa chute. Il avait réussi un exploit que même les chasseurs avaient du mal à accomplir.

L'homme-loup lui tomba dessus. Après s'être calmé, l'officier eu une montée d'adrénaline et souleva le corps inerte et pesant de l'animal pour se dégager. Le lycan saignait tant et si bien qu'il s'évanouit. La bête retrouva sa forme originelle de jeune homme en habit d'Adam.

Reprenant peu à peu conscience, je ressentis une énorme douleur. J'avais mal partout. C'était pire que tout ce que j'avais pu ressentir jusqu'à aujourd'hui. Pourtant, j'avais de graves blessures suite à des idées stupides. Je gémis de douleur et toussai du sang. "Que m'arrive-t-il ? Allez, Zayd, bouge." Je n'arrivais pas à bouger quoique ce soit. Une voix vint à mes oreilles, mais je n'étais pas assez présent pour comprendre la phrase, car la douleur était la seule chose que je ressentais. Les mots que j'entendis furent 'vivant', 'prévient' et 'cogne'. Je compris qu'on parlait de m'achever. Avec les quelque force que j'avais, je lui dis d'une voix presque inaudibles : « Vas-...y. ... ach... ève.... moi. » Cette simple phrase me fit tousser plus qu'une personne ayant la toux. J'avais l'impression de m’éteindre à petit feu et j'aurais, sérieusement, aimé qu'on me tue plutôt que de me faire vivre de tel douleur.

Bien sûr, ça ne resta pas comme ça. L'être surnaturelle n'allait pas me laisser mourir de ses blessures et de ce froid que je ressentais. Mon corps se répara tranquillement. Ça généra aussi de la douleur, car les balles n'avaient pas été enlevées. J'allais devoir trouver quelqu'un pour me faire ça, quelqu'un qui serait jonglé avec ma condition. Je n'allais pas le faire par moi-même parce qu'il y avait de fortes chances que je m'aggrave. Puis, je n'étais pas docteur.

J'avais exprimé à l'officier le désir qu'il m'achève. Je n'aimais pas ce que j'étais devenue. C'était une vie beaucoup trop solitaire. Puis, je n'aimais pas l'idée de tuer des gens et ce même si je ne le faisais pas consciemment. J'étais un monstre. Certes, c'était égoïste. Je ne pensais pas à ma famille ou à mes amis qui allaient souffrir de ma perte. C'était, tout de même, mieux que d'en tuer dans un élan de colère. J'aurais pu me suicider, mais je n'ai jamais été fervent de l'idée. De toute manière, c'était plus dur de vivre un deuil parce que la personne s'était suicidée. Je le savais, car je l'avais vécu. Puis, j'avais si mal. Une mort m'aurait semblé une vraie libération.

L'homme me dit que j'étais malade et qu'il allait m'apporter à l’hôpital. Avec un peu de mal, je lui dis : « Non... pas... l'hôp.. ital. » Comment allais-je expliquer le fait que je n'avais pas de blessure et que les balles étaient à l'intérieur de moi ? Enfin, il s'approcha de moi et me prit par les épaules. J'essayai de le pousser, car je croyais qu'il voulait m’emmener aux urgences. Mais à ma surprise, il me cala contre un mur. Puis, il mit sa veste sur moi. Je souris sarcastiquement, car j'étais nu et tout ce que je pensais était de mourir. C'était une mort digne d'un film d'horreur. Le policier me parla de nouveau. Le voilà qu'il voulait m'aider à la condition que je range mes dents. Elle était bien bonne. D'ailleurs, je la ris un peu parce que ris faisait un mal de fou. « Tu ne... peux... rien. » Puis, avec l'énergie qu'il me restait, il n'avait pas à avoir peur. Le lycan avait besoin de se reposer et guérir. Donc, il n'y aurait pas de dent. "Je me demande s'il essayera de le retrouver" me demandais-je mentalement. Je ne sais pas si le lycan que j'étais était du genre rancunier. Ce qui est sûr est que je ne le saurai pas avant les prochaines transformations. Enfin, s'il y en avait d'autres. Je ne l'espérais pas.

Il m'observa. Je devais être tout un spécimen de cirque. Je secouai la tête de haut en bas, lorsqu'il me demanda si c'était moi. Il l'avait lui-même vu. Que lui fallait-il de plus ? Je n'étais pas magicien. Comme j'aurais aimé dire que c'était une blague avec des caméras cachées, mais ce ne l'était pas. Rien n'était arranger avec le gars des vues. « Tu te fais... » J'ouvris la bouche et la fermai immédiatement pour lui mimer le mot 'mordre'. Puis, il me demanda ce qu'il pouvait faire pour moi. Je lui pointai ma voiture. J'avais besoin d'une couverture jusqu'à ce que je puisse me lever et aller m'habiller. « Une couverture. » J'avais froid aussi.

L'officier était curieux. Il me demanda comment j'avais été transformé. En y réfléchissant, il n'y avait pas trente-six moyens. Tu étais né un. J'imaginais que ça se faisait. Je ne savais pas encore ce qui était vrai ou faux de tout ce que j'avais vu. Ce qui était sûr, c'était que nous n'étions pas dans la version Twilight de la chose. Sinon, on devait se faire mordre. Ce qui était mon cas. Je lui répondis en croquant l'air. Le bruit de mes dents expliquait bien la chose. J'haussai les épaules lorsqu'il me demanda si la chose qui m'avait mordu était un loup-garou. Certes, je ne l'avais pas vue, mais j'étais sûre que c'était la vérité. Je ne pouvais pas être le seul dans ma condition. Je ne pouvais pas avoir été l'objet d'une expérience scientifique. On n'était pas dans un film au style de Frankenstein. Sinon, je l'aurais vu venir dans la forêt, non ? Comment expliquerait-on la jeune femme terrorisée ? « Oui » finis-je par dire.

Je lui demandai d'aller me chercher une couverture dans ma voiture. Il y avait des chances que je finisse par mourir de ses balles, mais je n'allais pas mourir de froid. Il revint avec le grand tissu chaud. Il m'aida à me couvrir et reprit sa veste. Je sentis déjà la chaleur sur ma peau. « Ça fait du bien. »

Je ris légèrement lorsqu'il me dit que s'il avait su, il ne m'aurait pas tiré dessus. « Qu'aurais-tu... Fais ? » S'il ne l'avait pas fait, il serait mort sans aucun doute. « Ce qui est... Sûr, c'est que tu ne... L'oublieras jamais. » Je lui souris. Non, je ne moquais pas de lui, mais j'aurais aimé qu'on se souvienne de moi autrement. J'aurais voulu être le vrai Zayd. Celui qu'on rencontre lors d'une soirée, qui aime s'amuser, faire les quatre cent coups,... Celui qui pouvait vivre sans avoir peur de tuer quelqu'un.

Tout à coup, mon regard chercha d'où vint le râle. Mes yeux tombèrent sur une femme. Elle s'adressa au policier. Elle me fit rire. J'avais l'impression d'entendre une maman et comme pour confirmer mes propos, elle me demanda pourquoi je n'étais pas avec un de mes aînés en m'appelant louveteau. « Qui êtes-vous ? » Je ne voyais pas quel genre de personnage pouvait connaitre ce que j'étais devenue. Je n'en avais parlé à personne. Pour dire vrai, je ne parlais plus à beaucoup de gens.

Elle vint à mes côtés et souleva la couverture. Pour une raison qui m'échappait, je la laissais faire. Pourtant, j'étais plus que vulnérable. La consternation se lut sur son visage. Était-ce plus pire que je ne le pensais ? J'espérais que non. Elle parla à nouveau au policier. Elle le félicita et lui dit qu'il aurait fait un bon chasseur. « Yaaaay » m'exprimais-je, sarcastique avant de me tordre de douleur. En fait, il avait eu de la chance, car j'étais un lycan sans stratégie. Du moins, c'est que j'avais l'impression. Mais qu'en savais-je ? Je n'étais pas capable de rester réveiller lorsque la bête s'éveillait.