Voir c'est croire... C'est ce que sa mère passe son temps à lui répondre. Cependant, pour Nick voir n'est pas forcément croire. Ce sujet de croyance était assez compliqué, un vrai sujet de discorde depuis quelques semaines. A Philadelphie, on le pensait coupable, alors que l'enquête avait prouver qu'il était innocent, et on venait de lui faire comprendre qu'il ne rentrerait pas de suite. Complètement écoeuré par cette annonce, il avait accepter le fait que sa mère vienne passer quelques jours dans son nouvel appartement. Elle avait put constater par elle même que le jeune homme ne s'était pas fait à cette ville, et à cette nouvelle vie. La femme, que les enfant nommait Abuela, tenta de mettre un peu d'ordre dans tout ça, et surtout dans le coeur de son fils, mais il n'y avait rien à faire.

D'ailleurs, ce soir là, Nick était à son bureau, il relisait pour la énième fois le dossier qu'il avait devant lui quand on l'appela. Lui et son partenaire du moment étaient appeler pour la découverte d'un corps. Nick se leva, enfila sa veste en jean noir, avec une capuche grise et se dirigea vers la voiture banalisé de la police criminelle. Le jeune homme gardait sa démarche de Philadelphie, et son allure de criminelle plus que de flic, jean large et trop long, boots, t-shirt clair mettant en avant son torse bien fait et donc sa fameuse veste en jean et à capuche. Pendant la journée il portait ses lunettes de soleil noir, peut importait le temps, mais là, il faisait nuit, donc il ne les portait pas. Il arriva donc dans la ruelle accompagner de ce partenaire à qui il ne parlait pas. Il montra sa plaque, puis il vit le corps sous un drap, cependant il remarqua une jeune femme prêt d'un flic en uniforme. Il laissa le corps à son collègue et se dirigea vers la jeune femme.

"Excusez moi, inspecteur Rayes, vous êtes la personne qui a découvert le corps c'est ça ? Vous pouvez m'expliquez ce qui s'est passer ?"

Nick gardait tout son sourire charmeur pour les jeunes femmes, c'était plus facile pour elles généralement de parler quand on leur faisait voir qu'on les respectaient et qu'on les appréciaient, qu'on ne les jugeait pas et qu'on ne les accusait pas. Nick tenta donc de paraître normal. Il espérait juste qu'elle ne lui parle pas des histoires de Salem, le genre d'histoire qui le rendait dingue, et qui effrayaient sa fille de 4 ans.

❝ Une rencontre à travers une enquête ❞ - Nick & Riley - C'est drôlement dangereux de s'attacher à quelqu'un, c'est incroyable ce que ça peut faire mal. Rien que la peur de perdre l'autre est douloureuse. C'est moche de guetter un signe de quelqu'un pour se sentir heureux.

Grosse journée aujourd'hui à la clinique. On a eu pas mal de patients notamment quelque urgence. Un chiot qui s’était fait une torsion d'estomac. On dut l’opérer en urgence. Malheureusement ses chances de survit son maigre, car une fois qu'il a eu une torsion d'estomac. Il y a 90% de chance que ça se reproduise encore. Je sais également que vu son jeune âge il ne survivrait sûrement pas à l'opération. Dans tous les cas, il était condamné. J’étais la seule interne ce soir-là. Les propriétaires du chiot attendaient dans la salle d'attente. Une fois l'opération finit, il n'y avait pas qu'à attendre que la petite boule de poil se réveille. J'en profite d’être seul avec le chiot pour jouer de mes pouvoirs. Je me concentre sur les énergies qui m'entourent pour les rediriger sur le chiot afin de le guérir magiquement. Je ne savais pas encore si ça avait fonctionné, car c'est un gros sortilège. Il m'a épuisé. Je mets le chiot dans une cage de quarantaine et je vais rencontrer les propriétaires. « Bonjour, je suis le Dr Sullivan. L'opération c'est bien passer, maintenant il faut attendre. Je ne vous le cache pas Meïko et vraiment très jeune et il est possible qu'il ne supporte pas l'opération. On en saura plus demain Matin. Dans tous les cas je vous tiens au courant dès la première heure. » C'était mon dernier patient. Toujours habillé de ma tunique et de mon pantalon bleu, je ne pris pas le temps de me changer. Je suis à bout de force. Ce sortilège ma vidé de toute mon énergie. Je laisse l’axillaire de garde et je sors de la clinique pour rentrer chez moi. Soudain j’entends un cri au fin fond d'une ruelle et puis plus rien. Je me précipite pour voir ce qui se passe. J'arrive trop tard, le corps d'une femme gît par terre. Je me penche pour vérifier si elle est en vie ou pas. Mais non, elle a la nuque brisée et une marque de croc dans le coup. J'appelle la police dans la seconde et je leur explique. Ils ne mirent pas longtemps à arriver. Je m'assois un peu plus loin sur des marches en pierre. Je fais la connaissance de l'inspecteur Rayes. Il me demande de lui expliquer ce qu'il s’est passé. « Bonjour je m’appelle Riley Sullivan. J'ai bien peur de ne pas pouvoir vous aider. Je rentrais chez moi quand j'ai entendu crier. J'ai couru pour lui venir en aide, mais il était déjà trop tard. Je l'ai trouvé comme ça. »

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Nick nota tout sur son carnet, quand elle lui dit qu'elle n'avait rien vu et que quand elle était arriver la victime était déjà morte. Nick regarda dans la ruelle, il regarda ensuite la jeune femme et lui dit ensuite :

"Hum, vous n'avez vu personne partir de cette ruelle ? Vous êtes sur? Il s'est passer combien de temps entre le moment où vous avez entendue crier et le moment où vous avez trouver le corps ? Je ne vous accuse pas mademoiselle, je veux juste évaluer le nombre de temps que le tueur a eut pour s'enfuir."

Bon ok, Nick avait légèrement mentit. Il voulait savoir ce qu'elle avait fait pour arriver après le tueur, si ses dires étaient vrais, la jeune femme avait entendue les cris, donc elle n'était pas loin. Donc soit elle avait mentit et il se pouvait qu'elle ait peur, soit l'homme était sacrément doué et rapide. Nick avait été mit rapidement au courant pour les trous dans le cou. La première personne qui lui parle de vampire, Nick va risquer de les frapper. L'inspecteur regarda la jeune femme et sa tenue, il fit ensuite :

"Vous travaillez où Mademoiselle Sullivan ?"

❝ Une rencontre à travers une enquête ❞ - Nick & Riley - C'est drôlement dangereux de s'attacher à quelqu'un, c'est incroyable ce que ça peut faire mal. Rien que la peur de perdre l'autre est douloureuse. C'est moche de guetter un signe de quelqu'un pour se sentir heureux.

L'agent du FBI me posa plein de questions dont je n'avais pas les réponses. Je commençais a croit que bientôt j'aillais être la première suspecte de ce meurtre alors que je n'avais rien fait. Comme on dit ! Trop bon, trop con. « Écoutez, je n'en sais rien 2,3 minutes quelque chose du genre. Comme je vous l'ai dit, je n'ai rien vu. Quand je suis arriver les victimes été déjà morte. Je suis sincèrement désolé de ne pas pouvoir vous aider plus. » Je le regarde avec compassion. Je sais très bien qui avait fait ça, ou dû moins ''quoi''. Mais je me vois mal lui dire ''hey ho, monsieur l'agent. Vous savez quoi? votre meurtrier c'est un vampire.'' Il me prendrait pour une folle qui se moque de lui. Je sonde son esprit par télépathie pour savoir ce qu'il pense vraiment de cette histoire. De toute évidence il n'y a pas de place pour l'irrationnel. Je m’aperçois également qu'il ce pose des questions à mon sujet, visiblement mes craintes ce confirme. À ses yeux je ne suis pas blanche, ni noir, mais plutôt grise. Il a des doutes sur la véracité de mes dires. Ce qui m'agaça vraiment, mais j'essaye de le cacher. Je me relève afin d’être debout face à lui et je lui monte mon badge qui se trouve sur ma poitrine. « Dr Sullivan... Je travaille à la clinique vétérinaire. Je viens de finir mon service. Plusieurs personnes peuvent en témoigner. Lucie notre assistante vétérinaire est encore là si vous le souhaite. Sinon j'ai les coordonnées de mon dernier client que je viens de quitter. Excusez-moi je veux simplement rendre service et faire mon devoir de citoyen. » Je finis par lui donner ma carte avec mon numéro de téléphone. « Écoutez, voici ma carte, si vous avez besoin, appeler moi. » Je le laisse en plan, de toute façon je n'avais pas grand-chose à lui raconter. Je rentre dans le pub en face et je commande une vodka glace. Après ce que je viens de vivre, un petit remontant n'était pas de refus.

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Nick avait bien entendue la réponse de la jeune femme. Il sentait qu'elle s'agaçait parce qu'il la soupçonnait mais fallait le comprendre, comment un tueur pouvait tuer aussi rapidement sans se faire voir alors que le témoin est arriver à peine quelques secondes après les cris ? Nick était perplexe. Cependant, la jeune femme répondait à toute ses questions, il lui dit quand elle s'excusa de ne pas avoir put aider la victime :

"Si vous n'avez rien à vous reprochez, vous ne pouvez pas vous en vouloir. Ce tueur, peut importe qui il soit aurait également put s'en prendre à vous."

C'était marrant comment la psychologie qu'il n'avait pas à Philadelphie, pouvait lui servir ici. Mais cela ne calma pas la jeune femme. C'était comme si elle avait sentit qu'il la soupçonnait un peu, après tout c'était son boulot. La jeune femme lui répondit alors qu'elle travaillait pas loin, qu'elle avait des témoins et qu'elle lui confiait sa carte. Nick arqua un sourcil et prit la carte. Non mais elle était sérieuse de quitter une scène de crime comme ça ? Bon au moins elle n'allait pas loin. Nick soupira et haussa les épaules. S'approchant du coroner il lui demanda :

"Excusez moi, ça serait possible que ce soit des crocs d'animaux qui ait fait ça ?"

"Vous rigolez inspecteur ? Je sais que vous êtes nouveaux ici, mais un animal aurait déchirer la peau ou même déchiqueter, il n'y aurait pas eut ces deux trous bien distinct."

"Ouais, si vous me parlez de vampires, je vous jure que me tire."

"Ha c'est pas moi qui l'ai dit. Mais vous savez beaucoup de gens dans cette ville croit à ces histoires."

"Ouais bah beaucoup de gens ici devrait voir un psy ! Merci."

Nick se redressa et se dirigea vers le bar ensuite, et si cette demoiselle croyait à ces histoires ? Il se pourrait bien qu'elle connaisse quelqu'un qui serait capable de monter un coup pareille, sans faire de jeu mot. Il s'approcha d'elle et fit :

"J'aurais une dernière question mademoiselle...Vous avez entendue parler des histoires tordus de cette ville, est-ce que par hasard vous connaîtriez quelqu'un qui pourrait se faire passer pour un vampire ?"