Il fait frisquet et les nuages masquaient comme d'ordinaire la lune timide. Riley, en ce samedi tranquille, avait décidé de faire un jogging. C'était un moyen comme un autre de se changer les idée après ce qui c'était passer.Enfilant une tenue décontractée et confortable, la jeune femme voulait se vider la tête. L'agressions dont elles avaient était sujette, l'avais beaucoup chamboulée et le fait de savoir qu'une sorcières troc des noms contre sa liberté lui donnait froid dans le dos. Ce jour là il fallait qu'elle ne pense à rien, rien d'autre qu'elle même et ce qui l'environnait. Refusant d'emporter avec elle de quoi écouter de la musique, elle attacha ses cheveux et sortit de chez elle. L'air frais ne lui ferait pas de mal. Comme beaucoup d'américains cependant, par simple mesure de précaution elle emporta avec elle une petite arme blanche, que son père lui avait donné un ans avant son décès. Elle fourra l'objet dans la poche arrière de son pantalon.


Elle gambadait dans les rues, appréciant le vent qui caressait son visage. Salem était une si petite ville. Passant par un petit parc, elle mit le cap vers la forêt, croisant deux ou trois personnes, elle oublia toute crainte et se concentra sur sa petite course, bondissant même parfois, histoire de se dépenser.

S'enfonçant dans l’épaisse forêt, elle courait tranquillement, à sa droite, une sorte de prairie à l'herbe bien verte, s'étendait, vide. Les gens sortaient peu ce week end. Riley marqua une pause, et s'étira d'aise, contente d'avoir trouvé un moyen d'évacuer les soucis. La solitude pouvait être agréable finalement. Elle marcha vers l'herbe humide et retrouvant sa joie de vivre Riley, fit quelques pirouettes de danseuse, les bras en l'air, tournant et tournant encore, sans craindre de passer pour une folle.

Mais un bruit la fit s'arrêter net. Elle avait entendu une branche craquer très distinctement. Pas une brindille, non non, une belle branche. La jeune femme regarda autour d'elle : personne. Elle était seule. Le bruit venait de la forêt qui plus est. Surement un écureuil... Ben oui les écureuils cassent les branches des arbres c'est bien connu. Se sentant soudainement observée, mal à l'aise.

Elle se retourna de nouveau : mais rien... Le cœur battant la chamade, elle soupira. "Riley, tu deviens vraiment parano, les écureuils vont pas te poursuivre, tu leur as rien fait."

HARLEY-

Je regarde autour de moi, soudain je m’aperçois qu'Attila à disparu. Du moins il ne se trouve plus dans mon chant de vision. Au même moment quelqu'un m'interpelle. Je me tourne en direction de la voix et je croise le regard de Zayd. Je me sens un peu soulager. Si ça se trouve, c'est lui qui venait de faire du bruit. D'ailleurs que venait-il faire ici ? Dans les bois tout seuls.... « Salut Zayd, que viens -tu faire ici ? Surtout à cette heure-ci ? » Je m'approche de lui tout en envoyant un appel à Attila. [Télépathie : Attila, tu es passé où je m’inquiète. Revient ici s'il te plaît] Inquiète de regarde autour de moi pour essayé de voir si Attila réparait. S’il lui arrive qui que ce soit, je ne me le pardonnerais jamais. Attila est mon meilleur ami, enfin pas comme Zayd c'est pas comparable. Mais je les aime autant l'un comme l'autre. D'ailleurs on passe tellement de temps ensemble Zayd et moi que nos familles commençaient à croire qu'un jour ils allaient nous marier. Cette pensée me fait sourire. Mon ami a l'air vraiment inquiet ce qui m’inquiète encore plus. Il me conseille de rentrer avec lui. «Attila a disparu je dois le retrouver avant de rentrer. » Au même moment, je ressens une vive douleur à la cheville. Je tombe au sol et poussant un cri. Je regarde ma cheville je n'avais rien. « Attila est en danger, il est blessé. » Je le sais je suis connecté avec lui. J'avais lâché cette bombe sans réfléchir, Zayd allait me prendre pour une folle alliée. Peu importe, il y a urgence. Un hurlement de loup de fait entendre dans les profondeurs de la forêt. Je me mets à courir aussi vite que mes jambes me le permettent. Zayd était à mes trousses.

HARLEY-

Zayd ne comprenait rien et je ne pouvais pas lui en vouloir. Mais à cette heure-ci c'était le cadet de mes soucis. Attila est en danger. Je lui expliquerais tout après, une fois que toute cette histoire sera réglée. Je cours toujours, et Zayd me suis à toutes jambes. « Je t'expliquerais après, mais là ce n’est pas le moment » je m’arrête nette. Je sens mon cœur ce brisé en morceau quand j’aperçois Attila coucher au sol. Il a la patte prise dans un piège à loups. « Ho mon dieu, Attila » je me rue vers mon ami et j'asseye d'ouvrir le piège, mais sans sucés. Celui-ci est trop rouillé. Les larmes à l’oeil je regarde Zayd. « S'il te plaît tu peux m'aider a l'ouvrir » il est inconcevable que je perde Attila. J'ai déjà perdu mes parents, je ne supporterais pas du perde lui aussi. Je suis en panique. Je sens qu'Attila est de plus en plus faible. J'allais devoir user de la magie pour le soigner. Mais avant faut le libérer de son piège. Je regarde Attila, qui se trouve dans un sale état. Je pleure à chaudes larmes. «Ne t'inquiète pas Attila, on va te sortir de là »

HARLEY-